Parmigiani Fleurier Kalpagraphe blanche et noire

Communiqué de presse

Parmigiani Fleurier Kalpagraphe blanche et noire

En hommage au noir et au blanc, ainsi qu’à toute la symbolique qui leur sont associés, Parmigiani Fleurier présente un Kalpagraphe féminin en or rose sertie de diamants à cadran saphir blanc, ainsi qu’un Kalpagraphe masculin noir brillant à cadran saphir gris. Fidèles à la collection Kalpa de la Maison, il s’agit de garde-temps de forme tonneau.

Parmigiani Fleurier a le plaisir de dévoiler le Kalpagraphe blanc et la Kalpagraphe noir, un diptyque de chronographes sport-chic dédié à ces deux couleurs. Le noir et le blanc, à la fois opposés et complémentaires, symbolisent la complétude homme/femme. Ils sont aussi utilisés dans de nombreux contextes et cultures pour définir à la fois dualité et union.
 

Un cadran saphir blanc anime ainsi le nouveau Kalpagraphe féminin de la Manufacture. Son boîtier en or rose est rehaussé de diamants. Un bracelet en caoutchouc blanc habille cet élégant et moderne garde-temps.
 

Le Kalpagraphe masculin fait, quant à lui, la part belle aux tonalités obscures : son boîtier en acier noir brillant se marie à un bracelet en caoutchouc de cette même couleur et à un cadran saphir gris. Le noir de la boîte est obtenu à l’issue d’un traitement nommé ADLC, permettant une grande résistance à l’usure, ainsi qu’un rendu répondant aux plus grandes attentes.
 

Au nombre des éléments se retrouvant dans ces deux garde-temps, notons la présence du mouvement chronographe automatique PF334, ainsi que l’usage de l’or rose pour la couronne, les poussoirs et les compteurs à 6 heures et à neuf heures, les vis de fond, la boucle ardillon, et de l’or 22K pour la masse oscillante.
 

L’histoire de Parmigiani Fleurier débute avec l’ouverture d’un atelier de restauration par Michel Parmigiani en 1976. Ceci marque le début de sa grande étude des chefs-d’œuvre des maîtres horlogers du passé. Cela conduira à la création de la marque Parmigiani Fleurier, une entreprise qui conserve en son sein un atelier de restauration à même de s’occuper de tout objet horloger et constitue une source d’inspiration pour toutes les créations de la Maison.
 

En matière de mesure du temps, Parmigiani Fleurier, qui puise notamment son inspiration dans les pièces que son atelier restaure, s’est par exemple occupé de deux montres de poche à double boîtier signées James Cox, des pièces datant du XVIIIe siècle se trouvant dans la collection de la Fondation Edouard et Maurice Sandoz. Une seconde foudroyante, soit une aiguille effectuant une révolution en une seconde est en effet l’une des complications se retrouvant dans ces garde-temps.