Parmigiani Fleurier Toric Fleur

Communiqué de presse

Parmigiani Fleurier Toric Fleur

Hommage de Michel Parmigiani à la culture japonaise.

Féru de culture japonaise, Michel Parmigiani a dessiné un très élégant garde-temps féminin afin de célébrer à sa façon hanami, la coutume de l’archipel qui consiste à admirer la beauté des fleurs. Cette montre raffinée en or rose de la manufacture Parmigiani Fleurier est baptisée Toric Fleur et présente une fine dentelle de marguerites sur son cadran. En amoureux de la nature, c’est en effet le port et la grâce subtiles de cette fleur que le maître horloger apprécie au printemps dans les prairies vallonnées du Jura suisse.
 

C’est à la lecture de ce haïku du maître poète Yosa Buson, évoquant les vagues, que Michel Parmigiani a eu l’idée d’un chef d’œuvre horloger à même d’illustrer à la fois la pérennité du souvenir du printemps, de célébrer hanami et d’évoquer le passage du temps : la Toric Fleur.
 

Cette montre présente une boîte en or rose d’un diamètre de 33.7 mm, assortie d’une lunette finement moletée typique de la collection Toric. Sur le cadran de nacre blanche sont appliqués des index chiffres arabes ainsi qu’une délicate dentelle d’or évoquant un tapis de marguerites, à l’image du duvet végétal qui orne les vallées suisses le printemps venu. Animées du calibre manufacture automatique PF310, des aiguilles feuilles, autre hommage à la nature, à matière luminescente indiquent les heures et les minutes. La petite seconde prend place à six heures. Le dos de ce précieux garde-temps offre un spectacle des plus saisissants, puisque les ponts présentent des côtes de Genève en éventail et que la masse en or arbore un somptueux guillochage grains d’orge. Un cabochon d’opale blanche orne la couronne de cette montre. Un bracelet veau Hermès étoupe complète ce garde-temps qui allie la poésie, la haute horlogerie, les matériaux les plus fins et l’élégance que confère la maîtrise de la simplicité.
 

Le père de Michel Parmigiani, en véritable philosophe de la vie, aimait à lui répéter « Qui apprend à regarder acquiert l’art. » Ces mots ont raisonné dans la tête de son fils et l’ont guidé dans chacun de ses actes. Enfant, il éprouve rapidement un grand amour pour la compréhension de la nature et pour les gestes humains qui s’efforcent d’en imiter la perfection. Ce penchant l’a conduit vers la restauration et les chefs d’œuvres reproduisant physiquement les merveilles de notre planète dans leurs façons de se mouvoir ainsi que vers la culture japonaise, cet art de vivre et de faire du plus haut raffinement. Parmi les différentes facettes que revêt cette passion, il faut citer l’accompagnement de la nature, comme il l’effectue dans son jardin japonais et dans sa traduction matérielle en haute horlogerie. Il est ainsi guidé, du design de la montre jusqu’aux parties intérieures du mouvement, par l’application du nombre d’or, un rapport mathématique qui se retrouve dans tout ce qui nous entoure, y compris dans les magnifiques marguerites.